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Cet ouvrage traite des églises médiévales lyonnaises qui ont disparu, ont été reconstruites ou encore transformées. L’auteur brosse un portrait de la ville au cours des siècles en replaçant les données archéologiques dans leur cadre historique et topographique. Il complète ainsi sa publication Lugdunum christianum (1998) en fournissant les données plus récentes concernant les époques carolingienne, romane, gothique et moderne.
Dans quelle mesure les premières exploitations minières sont-elles liées à des stratégies de subsistance spécifiques, tel le pastoralisme ? Les ressources exploitées étaient-elles destinées à la seule consommation locale ? Ou bien étaient-elles aussi distribuées à travers le Proche-Orient, l’Anatolie, l’Iran ou la Mésopotamie ? Tels sont les thèmes abordés dans ce volume, qui contient 21 articles rédigés par quelques-uns des plus éminents spécialistes de l’archéologie du Caucase.
Les treize études réunies dans ce volume sont consacrées au phénomène de la dérivation depuis l’indo-européen (sanskrit védique, tokharien, vieux norrois, vieux slave, grec ancien, latin) jusqu’à nos langues modernes.
Ces vingt dernières années, les recherches archéologiques, épigraphiques et historiques ont profondément renouvelé ce que nous savons de Lyon dans l’Antiquité. Cette seconde édition, corrigée, augmentée de nombreux textes méconnus et illustrée, tient le plus grand compte des progrès accomplis.
Les contributeurs de ce volume se sont intéressés à des cas particuliers de résumés antiques, en s’interrogeant sur les pratiques à l’œuvre dans des domaines précis : les ouvrages scientifiques et techniques (médecine, astronomie, histoire) et le contexte rhétorique et scolaire (poésie, commentaires scolaires).
Dans ce volume, archéologues, archéomètres et historiens contribuent par différentes approches à un domaine de recherche émergent : les pratiques alimentaires en Méditerranée orientale médiévale. Il présente les résultats du programme ANR POMEDOR « Populations, poteries et alimentation en Méditerranée orientale médiévale ».
À partir de tous les types de textes disponibles, les actes de ce colloque international invitent à s’interroger sur les mots et les discours relatifs à la ville dans les territoires où l’on a parlé grec au cours de l’Antiquité et du Moyen Âge. L’étude du vocabulaire et du langage vise à mieux comprendre le sens des mots eux-mêmes, leur évolution dans le temps, leur variation selon les régions et la diversité de leurs usages dans des écrits de nature différente.
Les quinze communications regroupées dans cet ouvrage confrontent les données provenant des sites archéologiques à celles tirées de chantiers spécialisés dans l’expérimentation – tel le chantier médiéval de construction du château de Guédelon – et dans la restauration de monuments.
C’est au Ier millénaire av. J.‑C. que le dromadaire et, plus marginalement, le chameau commencent à imposer leurs hautes silhouettes sur les routes du Proche-Orient et d’Égypte. Réunis lors de deux ateliers, à Lyon puis à Nanterre, seize archéologues et historiens ont tenté de prendre la mesure de cette révolution chamelière.
Alors que la thématique de l’urbanisation en Mésopotamie a été très débattue ces dernières décennies, cette question est abordée depuis peu pour le Plateau iranien. Le volume dresse un panorama de l’état des recherches qui se nourrit amplement des travaux de terrain en cours. Il rend compte de la dynamique actuelle de la recherche archéologique en Iran, riche de nouveaux questionnements et de nouvelles perspectives, et constitue un apport original à la réflexion sur l’émergence des villes au Moyen-Orient.
Cette enquête pluridisciplinaire a permis de mettre en évidence des pratiques de construction utilisant de façon rationnelle les ressources géologiques du territoire. Elle renouvelle l’approche d’un patrimoine construit en milieu montagnard et nous invite à poursuivre de semblables prospections dans d’autres régions voisines.
La collaboration de chercheurs issus de plusieurs disciplines (l’histoire, la philologie et l’archéologie) a permis de cerner la pratique du vote à travers ses implications politiques, ses modalités procédurales et la place qui lui a été réservée dans l’espace civique par les différentes sociétés antiques qui l’ont mise en œuvre.
Percevoir ce qu’était l’espace sacré au Moyen Âge est à la fois simple et complexe, car si la société médiévale est profondément christianisée, il n’en demeure pas moins que déterminer l’espace sacré dans sa dimension spatiale n’est guère aisé.
Réuni à partir de 2008 dans un projet collectif de recherches dirigé par Jean-Claude Béal, le groupe de chercheurs, d’horizons divers, a eu pour objectif d’associer données anciennes réexaminées et données récentes dans une confrontation des deux étapes routières de Ludna à Saint-Georges-de-Reneins et d’Asa Paulini à Anse (Rhône).
Père de l’archéologie médiévale à Lyon, Jean-François Reynaud a mené avec le succès que l’on sait ses recherches sur le Lyon paléochrétien et médiéval. Puis il a ouvert ses investigations sur la région Rhône-Alpes, en ajoutant à la pratique de l’archéologie sédimentaire, celle, encore balbutiante, de l’archéologie du bâti.
Ces actes regroupent 24 contributions réparties en deux sections : l'actualité de la recherche et le thème choisi pour cette session, « économie et société à la fin de la Préhistoire ».
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